Voici mon histoire de chasse:
Nous somme lundi matin le 29 sept. Il tombe une forte bruine pour ne pas appeller ça de la pluie. Je suis à l'extérieur, fait quelque call, il ne vent pratiquement pas. Après, une heure environ mon père se lève et vient me rejoindre sur la galerie pour avoir mon filling sur ce matin de chasse. Bien, je lui mentionne que je n'ai pas de réponse, mais que j'entend des bruits de pas dans la coulé à droite de moi.
Alors d'un commun accors, il pars dans le chemain longeant cette coulé pour fait quelques calls lui aussi. Je ne bouge pas de ma place ont ne s'est jamais ce qui est pour arrivé.
Deux heure plus tard, mon père revient mouillé juste qu'au os, sans piste fraiche et réponse à ces calls.
Nous sommes entrée à l'intérieur pour prendre un bon déjeuné avec notre compagnon de chasse. Durant le déjeuné, nous nous disions qu'il faudrait aller voir à l'autre bout de notre terrritoire si par là, il y avait du mouvement. Un petit lunch pour l'après midi et mon père et notre compagnon partir explorer plus loin.
Rester seule au camps pour faire la vigie, on ne sait jamais. J'ai callé tout l'pm, marcher dans l'eau, fait le ménage, préparé le repas du soir etc...
Plusieurs fois, je me suis présenté a l'extérieur et j'avais toujours l'imprésion que ça bougeait dans la coulé.
Vers 14h15, mon père de retour de ça randonné, mouillé comme sa se peut pas. Il avait la mine très basse, je lui demande pourquoi, il me dit que la chasse allait être très difficile cette année, car il n'a vue aucune présence d'orignaux passé dans notre territoire depuis plusieurs semaines.
Alors moi également un peu débinée par ses dires, je lui dit , vas faire séché ton linge et change toi et avec un petit remontant ça va passé et nous discuterons de la statigie à employé pour les prochains jours au souper. Je vais me chercher une bonne :biere: , je m'assoit sur la galerie pour fumé mon cigare pour décompresser un peu.
Venant juste décrasser mon cigare j'entend, cric, crac, crouch encore dans la coulé, je me lève la tête, que vois-je un orignal qui s'envient sur ma saline. Je regarde part le télescope de ma carabine je ne voit pas de corne et cette année, je n'ai pas le droit à la femelle. je me dit, il me faudrait des jumelles, mais elles sont à l'intérieur. Toujours un oeil sur l'orignal qui semble épier tout mes mouvements car la galerie crac énormément, je fait ni un ni deux et demande à mon père de me donné les longues vues. Je regarde par les jumelles, je ne suis toujours pas certain que c'est un mâle. Comme ça n'allait déjà pas assez bien je me met à avoir un léger tremblement
, car ça fait déjà 15 minutes que j'essais de l'identifier agenouillé sur la galerie. Il était très difficile a identifier,car il se trouvait face à moi, à un peu plus de 600 pi. jusqu'au moment où il décide de se tourner la tête. Que vois-je des petites cornes avec des velours. Je laisse tomber les jumelles en bas de la galerie, prend ma carabine et
dans la poitrine, il part très lentement sur la plage, je recharge
, mon père qui regardait de l'intérieur me dit, tu viens de passé en dessous, je recharge, mon père me dit attend il va tomber, alors j'attend, voyant l'orignal qui veut entré dans le bois, je me position pour faire un autre tire, j'attend encore mon père me dire vas-y tire, mes l'orignal est mal placer, je lui lâche un woh, woh, il tourne la tête me laissant son coup a découvert et
, il s'effondre.
Voilà, comment cela s'est passé.
:salut: :dance: :dance: